Le parterre de la pivoine trois mois plus tard
Alors, comment évolue-t-il, ce « parterre de la pivoine » ?
Eh bien, le voilà.
Bon, ce n’est pas horrible, mais il y a tout de même des choses qui clochent : la petite chouette en céramique en plein milieu est vraiment trop kitsch, et ces crocosmias rouge pétant… c’est vraiment trop. Pas du tout en harmonie avec les autres fleurs.
J’ai enlevé tout ça. Je ne sais pas si c’est visible sur la photo, mais « en vrai », c’est tout de même mieux. Enfin, selon mes goûts.
🌼 Mais il reste ce trou au milieu
Là se trouvait un très joli aster aux fleurs noires, reçu lors d’une visite du magnifique jardin de Marie-Noëlle Maquet.
Il s’est très bien développé pendant deux ou trois ans, et puis cette année… pfouit ! Disparu.
Que lui est-il arrivé ? Je pense que les limaces se sont jetées dessus dès sa sortie de terre.
Ou alors, c’est un campagnol qui l’a attaqué par les racines.
Heureusement, j’ai pu en sauver un petit morceau : je l’ai repiqué en pot et il est maintenant aux soins intensifs.
J’espère le sauver !
Un phlox va bientôt s’épanouir à cet endroit. Je me réjouis de découvrir ses fleurs, car il s’agit — comme la plupart des phlox de ce parterre — d’un plant récupéré à La Halle du Bouillon Blanc, lorsque Hugues a transformé ses parterres.
Je suis certaine qu’il sera joli (le phlox).
Dans le trou laissé par l’aster, j’ai tout de même mis une petite véronique qui se morfondait dans son pot devenu trop petit.
On verra bien.
🌸 Quelques fleurs en place
Sinon, qu’est-ce que je peux encore vous montrer ?
Un autre phlox ? Un peu voyant, celui-ci, mais parfait par sa petite taille. Il peut ainsi être placé en premier plan, où il soutient les plantes situées derrière lui.
J’aime beaucoup les phlox, car ils restent en général bien dressés et font de parfaits tuteurs naturels.
Dans ce parterre, il y a aussi de très vigoureuses hémérocalles.
Elles ont fleuri abondamment pendant un bon mois.
À présent, elles arrivent en fin de floraison, mais il reste encore quelques boutons qui vont s’épanouir.
Les photos ci-dessous datent du 5 juillet.
C’est fou ce que ça change vite, tout de même !
On se retrouve dans un mois devant le parterre de la pivoine pour voir comment tout cela aura évolué — et je vous donnerai des nouvelles de mon pauvre aster noir.
Et si vous avez manqué les deux premiers épisodes, c’est ici :
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